Pour procès en Appel du 9 mars 2018. Il n’y aura rien à attendre : Houcine Arfa, piégé par Hervé et Willy, devenu la brebis galeuse de choix (qu’ils ont cru et qu’ils pensent croire encore) verra sa condamnation confirmée. Ce qu’ils ne savent certainement pas, c’est que ce sera à partir de ce 9 mars 2018 que la justice française se mettra en branle. Et là, comme on dit : rira bien qui rira le dernier, la république française n’est pas une république bananière et sa justice est très indépendante.
Le patronat malgache est allé plus loin encore : « Les enlèvements sont devenus un véritable business d’une mafia dont les ramifications sembleraient atteindre les hautes sphères du pouvoir militaire et politique, créant une situation de terreur nationale. Si de hautes personnalités censées nous gouverner ou nous protéger versent dans des pratiques aussi crapuleuses que criminelles, il y a lieu, non seulement de tirer la sonnette d’alarme, mais également de craindre le pire. »
Sa plainte contre Houcine Arfa entre dans sa démarche d’arnaqueur tablant sur la «perméabilité» de la justice malgache. Pour ne pas dire plus…. Et s’il compte aussi porter plainte contre moi (Jeannot Ramambazafy), il devra vraiment y réfléchir à deux fois. ... De toute façon, ici à Madagascar ou ailleurs, un document très explosif pour lui et ses protecteurs sera publié. Bientôt…
En effet, beaucoup de citoyens s’abstiennent de recourir à la Justice, convaincus que la partie adverse aura déjà payé les magistrats pour lui donner raison. D’où le recours à la justice populaire, où le fait d’être en masse donne l’illusion d’être dans son bon droit, alors qu’on prive un être humain de son droit à un procès équitable et pire, de son droit à la vie
Du coup, l’existence d’une corruption dès l’entrée à l’école des magistrats ne fera que ternir l’image de ces derniers. La Commission pointe du doigt la velléité de certains parents qui « paient le prix fort pour faire admettre leur fils ou leur fille au concours d’entrée, qui n’est plus alors qu’une simple formalité ».
Pour la Commission des droits de l’Homme, qui aurait reçu des doléances concernant ces suspicions, il y va de la restauration de la confiance des citoyens envers la Justice et, à terme, de l’État de droit. Selon les informations, le Bureau indépendant anti-corruption (Bianco), aurait aussi demandé à ce que le concours en cours soit annulé.
Par ailleurs, la Commission Nationale Indépendante des Droits de l’Homme recommande à ce que « la présente session soit annulée si les suspicions de corruption sont avérées, et que les responsables, y compris les personnalités qui se seront rendues coupables de pressions pour l’admission de tels ou tels candidats, soient sanctionnées et les sanctions rendues publiques ».